Quelques vues à ma fantaisie de l’exposition JP Gaultier au Grand-Palais : un immense bonheur pour les yeux et l’esprit, et j’ai bien senti que le capteur CCD se régalait aussi des reflets mordorés, de l’ombre de la courbe parfaite d’une jambe (en plastique hélas) émergeant d’une rivière de paillettes ou des transparences vaporeuses d’une robe de mariage qui aurait provoqué une émeute dans la communauté la plus austère. Allez tiens, vas-y, fais-toi plaiz, ça te changera des usines rouillées !
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